Dans un climat de tensions croissantes, la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) s’engage dans un combat sans précédent pour sa survie. À la suite de l’arrestation de son secrétaire général, Kambou Sié, et de la dissolution officielle de l’organisation, le leader charismatique « Général Crapaud le Noir » appelle les membres de la FESCI et les sympathisants à se mobiliser pour défendre l’association.
Cette décision de dissolution, perçue comme une tentative de museler la voix des étudiants, a immédiatement suscité des réactions au sein de la communauté estudiantine ivoirienne. La FESCI, fondée pour représenter et défendre les droits des étudiants et élèves de Côte d’Ivoire, est désormais au centre d’un bras de fer entre l’administration et ses membres, déterminés à résister.
« Général Crapaud le Noir » a déclaré que la FESCI renaîtra, quitte à recourir à tous les moyens nécessaires pour rétablir son influence et poursuivre son rôle dans la défense des droits des jeunes. Cette déclaration, forte en symbolisme, reflète l’esprit combatif qui anime l’organisation et ses dirigeants, malgré les actions répressives entreprises à leur encontre.
Pour les étudiants et les membres de l’association, cet appel à la résistance représente un message de résilience face aux mesures perçues comme arbitraires et visant à étouffer la voix des jeunes. En continuant de défendre sa cause, la FESCI entend jouer un rôle central dans les luttes sociales et politiques en Côte d’Ivoire, contribuant à façonner l’avenir du mouvement étudiant et des droits éducatifs.


Cette détermination soulève de nombreux enjeux dans le paysage sociopolitique ivoirien, alors que le débat autour des droits étudiants se fait de plus en plus présent.